Singe zodiaque chinois
Le Singe est décrit comme malin et débrouillard, voire opportuniste.
L’histoire du zodiaque chinois
L’astrologie chinoise, vieille de plusieurs millénaires, comprend de nombreux systèmes complexes, parmi lesquels l’Occident a retenu les douze signes correspondant à douze animaux. Les signes de l’horoscope chinois sont associés à des symboles, des légendes et des traits de caractère.
L’origine du zodiaque chinois remonterait à l’empereur de Jade, chef des dieux, qui souhaita sélectionner 12 animaux en vue de constituer sa garde rapprochée. Pour cela, il envoya un immortel dans le monde des humains. Celui- ci devait annoncer l’organisation d’une course pour accéder à la Porte Céleste. L’ordre de passage de cette Porte Céleste déterminerait le rang des animaux
Le Buffle, habitué à se lever tôt du fait de son travail agricole avec les hommes, partit le premier. Tous les autres animaux partirent ensuite.
De nombreuses autres péripéties se succédèrent tout au long du parcours, témoignant des caractères de chaque animal:
En arrivant devant la rivière qui cernait le palais de l’Empereur, le Rat demanda au Buffle de monter sur son dos pour traverser la rivière sans se noyer.
Le Buffle, dans sa grande bonté le lui permis. Et juste au moment où le Buffle allait atteindre le premier la rive opposée, le Rat sauta de son oreille et gagna la course, obtenant du même coup la première position dans le cycle zodiacal. Le Buffle arriva deuxième.
Le Tigre arriva en troisième, et vexé de ne pas être arrivé le premier il bondit par-dessus la rivière.
Le Lapin, rapide et de petite taille, profita tout au long du chemin de la protection des pattes du Tigre pour arriver le quatrième.
Le Dragon, malgré sa magie et son agilité, pris du retard car il s’attarda à sauver un village. Il arriva cinquième.
Le Serpent, malin mais moins fort que le Dragon, se faufila dans ses traces et arriva juste après lui.
Le Cheval fut le septième en ayant tout au long du parcours apporté aux villages traversés de bons présages.
La Chèvre, ne pouvant rivaliser avec le Cheval, pris des raccourcis grâce à son ingéniosité, son inventivité et sa créativité. Elle arriva huitième.
Devant le palais de l’Empereur, une foule était réunie pour assister à l’événement. Le Singe n’hésita pas à grimper sur la tête des gens pour obtenir la neuvième place.
Le Coq, ne pouvant voler, battit des ailes pour traverser sur quelques mètres la fameuse rivière. Il arriva le dixième.
Le Chien n’arriva qu’avant-dernier, car fidèle, il ne s’était résolut que tardivement à quitter son maître.
Le Cochon enfin, intelligent et gourmand, finit bon dernier : il s’était assuré avant tout de ne point trop se fatiguer pour arriver tout de même, et s’attarda à goûter tous les mets des lieux traversés.
Détails du projet
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28x22 /60cm
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sculpture
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disponible
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2022
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France